— Que portes-tu dans ta gibecière
toi qui ne chasses que l’ennui
et ces silences qui nous oppressent ?
Que portes-tu de si menu et de si large,
de si vaste et d’invisible ?
— Le secret qui fait valser les doutes,
et qui donne à la conscience
l’élévation de l’arbre
vers d’innocents nuages.
La voix que l’on n’entend
qu’au bord de l’eau,
fleuve ou fontaine,
mer ou cascade.
L’image qui se reflète
derrière tout ce qui tremble,
feuilles au vent,
murmures d’automne,
ailes d’un oiseau.
— Tout ça, ce ne sont que des mots.
— Oui. Des mots.
toi qui ne chasses que l’ennui
et ces silences qui nous oppressent ?
Que portes-tu de si menu et de si large,
de si vaste et d’invisible ?
— Le secret qui fait valser les doutes,
et qui donne à la conscience
l’élévation de l’arbre
vers d’innocents nuages.
La voix que l’on n’entend
qu’au bord de l’eau,
fleuve ou fontaine,
mer ou cascade.
L’image qui se reflète
derrière tout ce qui tremble,
feuilles au vent,
murmures d’automne,
ailes d’un oiseau.
— Tout ça, ce ne sont que des mots.
— Oui. Des mots.
Daniel LEDUC
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