La beauté du monde s’enveloppe dans la clarté,
se révèle par l’interstice
entre l’apparence et le vrai.
La fluidité dans le vol, dans l’élan,
dans le ruissellement des formes ;
le chatoiement du soleil sur la vague
ou bien sur l’horizon fantasque ;
les fractures dans le roc,
les craquelures de la terre ;
le chevauchement des couleurs
ou des sons qui s’enchantent ;
le corps
et puis la vie ;
ce regard qui soulève
au cœur d’un ciel de traîne
un envol de drennes et de nuages.
La beauté convulse.
Dans un chant
stellaire.
L’opacité du monde.
se révèle par l’interstice
entre l’apparence et le vrai.
La fluidité dans le vol, dans l’élan,
dans le ruissellement des formes ;
le chatoiement du soleil sur la vague
ou bien sur l’horizon fantasque ;
les fractures dans le roc,
les craquelures de la terre ;
le chevauchement des couleurs
ou des sons qui s’enchantent ;
le corps
et puis la vie ;
ce regard qui soulève
au cœur d’un ciel de traîne
un envol de drennes et de nuages.
La beauté convulse.
Dans un chant
stellaire.
L’opacité du monde.
Daniel LEDUC
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